Pas bien compliqué, en tout cas dans les églises disposant d'un choeur de grandes dimensions.
Le principe étant inhabituel, attention à ne pas laisser pour compte 10% des personnes qui resteraient dans la nef sans comprendre vraiment ce qui se passe ! (On peut mandater certaines personnes pour y veiller lors du déplacement).
Certaines paroisses ont institué ce mouvement et le font lors de toutes les messes dominicales, d'autres le font lors de certaines fêtes (par exemple Jeudi Saint).
Permet de vivre le rythme et la dynamique de la célébration. On est invité au repas que l'on prend ensemble.
Le temps du déplacement est important. Ce n'est pas du temps perdu ou le brouhaha ; on se tourne vers la pâque, court chemin de croix, début d'une conversion...
Photo Eglise Saint Merry, Centre Pastoral les Halles-Beaubourg, Paris 4ème
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À la liturgie eucharistique, le prêtre se positionne face à l'autel.
Le prêtre peut faire davantage corps avec l'assemblée s'il se positionne proche de la nef ou s'il demande à des fidèles de venir dans le choeur.
Le prêtre s'adresse à Dieu pour l'assemblée, le prêtre s'adresse à Dieu avec l'assemblée.
Merci de commenter, en ayant bien en tête qu'il ne s'agit pas de promouvoir ici un retour avant le Concile Vatican II, mais de mettre en avant une proposition de variante pour vivre une expérience différente lors d'une Eucharistie.
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Plutôt adapté aux petites églises, et surtout aux rangs très peu larges (3 à 4 personnes), mais certaines zones de grandes églises peuvent s'y prêter (transepts).
Le Christ vient à moi, je reste en prière, éveillé et disponible pour le moment où il viendra.
Très simple, rapide et calme, puisqu'il y a aucun déplacement.
Par ailleurs, les personnes ayant des difficultés pour se déplacer sont bien sûr contentes !
Une église vers Cluses...
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Cette phrase est chantée de plus en plus souvent en paroisse, peut-être pour nous aider à prendre conscience de l'événement qui se produit de nouveau pour nous.
Il suffit de prévoir avant qui entonnera, et si possible sans accompagnement pour que ce soit vraiment entendu comme un cri qui jaillit.
Idéalement, la personne se place relativement au centre de l'église.
En l'entonnant non pas au micro mais au milieu de l'assemblée, c'est le peuple de Dieu qui se mobilise et appelle chacun à réagir.
C'est un peu le constat de l'assemblée, le constat des apôtres, en imaginant qu'ils aient un peu compris ce qu'il se passait devant leurs yeux...!
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Un calice en cristal ou simplement une belle coupe en cristal. Un vin rouge choisi pur, sans traitement, pour respecter les préceptes de la liturgie.
De manière occasionnelle, choisir comme vin liturgique du vin rouge peut être une façon de rappeler et de ressentir que le vin n’est pas simplement le symbole du sang du Christ.
À l’occasion du Jeudi Saint (institution de l’Eucharistie), les Noces de Cana, à d’autres occasions... et peut-être un jour où il est aussi proposé de communier par intinction.
L’image du vin rouge couleur sang peut déranger mais peut aussi contribuer à nous donner un nouvel éclairage sur ce mystère. Le temps de l'élévation ou le geste d'intinction peuvent tout à coup contribuer à une révélation.
Le Dominicain Pierre-Marie Gy dans "L'Eucharistie et la Sainte Cène" (2001) rédige un chapitre intitulé "Le vin rouge est-il préférable pour l'Eucharistie". Il rapporte et rejoint la réflexion du liturgiste allemand Lupert Berger qui écrit en 1987 : " L'Orient préfère jusqu'à aujourd'hui le vin rouge, comme l'Occident jusqu'au moyen-âge finissant, parce que ce vin évoque plus clairement à nos yeux le sang du Christ. À l'opposé l'Occident a renoncé à cette symbolique et emploie aujourd'hui presque exclusivement du vin blanc, ceci pour un motif pratique (cela rend plus facile le nettoyage du linge de l'autel), même s'il n'y a aucune prescription à ce sujet. "
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Chaque semaine nous l'écoutons plus ou moins, et poutant elle recèle des trésors à découvrir et redécouvrir.
Comment faire vivre ce 'pilier du mystère' ?
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Il arrive qu'elles se présentent à la communion sans savoir de quoi il s'agit, pour voir ce qui se passe, parfois aussi de manière irrespectueuse.
Difficile de faire face à ces situations...
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- Qu'en pensez-vous ?
- Avez-vous des astuces pour en faciliter l'organisation ?
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Est-il possible de faire sentir davantage la présence du Christ dans l'hostie, sans pour autant imposer des excès de formalisme ?
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Qu'avez-vous observé de différent - peut-être spécifique à un lieu - mais qui pourrait donner des idées de "parcours" ou de consignes plus adaptées ?
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