Bien sûr, c'est en récitant le Credo que l'on se proclame appartenir au Christ, mais l'expérience de l'écouter lorsqu'il est dit par ceux qui nous entourent est aussi magnifique : un écho de la variété de façons de croire, un éclat de la foi de chacun qui s'ancre en soi...
La valeur est en particulier de rompre avec l'automatisme de la récitation et d'oser dire que l'on a du mal à croire... et comme un écho direct à cette difficulté, on entend le soutien de ceux qui croient : nos aînés dans la foi.
Inversement, pour ceux qui le récitent, le Credo prend un sens fort : Je Crois !
En évitant bien sûr d'en faire une fierté, c'est tout de même beau de pouvoir le dire et le faire entendre.
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L'empereur Constantin (au centre), avec les évêques du concile de Nicée (325), tenant de manière anachronique, le texte du « Symbole de Nicée-Constantinople » dans sa forme liturgique grecque.
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